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DU RETOUR DES COULONNEUX A LA TAVERNE
le 313 de le rue de Lille.
le 313, toujours un café aujourd'hui, s'appelait en 1897 « Au retour des couloneux ».
en 1907. Vincent Gilles et son épouse Philomène reprient le cabaret. Vincent fonda la société colombophile « Le gros bleu » qui donna son nom au café .
Vincent était aussi musicien et la Musique Municipale avait son siège chez lui.
En 1900, un arrêté municipal interdisait l'usage
des orgues mécaniques dans les cafés car il y avait de nombreuses
protestations des voisins
qui se plaignaient du bruit. Quand Vincent Gilles s'installa en
1907, la loi avait-elle été abolie? Ou Vincent fit-il l'ignorant?
Toujours est-il
qu'il installa dans son estaminet un grand orgue mécanique et
fit danser la jeunesse comme son voisin Henri Delhembre. On y
dansait encore comme dans d'autres estaminets roncquois après
la guerre 39-45.
En 1929, Léon Lava, qui avait épousé Clara, la fille de Vincent,
reprit le café et continua le commerce de charbon. L'écurie était
rue Jeanne d'Arc.
Des années 50 à nos jours, le cabaret changea souvent de nom et de propriétaire. Il s'appelle aujourd'hui « La taverne », café-brasserie.
- Photo de famille devant le café « Au retour des coulonneux » au 313 de la Aujourd'hui encore, on y trouve un café.
Jacqueline et Julien avec l'aimable autorisation de Nord
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